Madame
Kerva, notre voisine du deuxième étage, gardait à son foyer quatre
enfants, et ce n'était pas par bonté de cœur, non, c'était pour
toucher des allocations.
Comme
je l'ai appris plus tard, il n'étaient pas d'elle mais de cousines
vivant en Algérie. Ils l'appelaient tout de même maman.
Avec
son mari c'était un mariage arrangé, coutume de son pays natal.
Pour
quelle raison ils n'avaient pas eu d'enfants ensemble, je ne l'ai
jamais su.
Je
suppose que le mari n'était pas fertile, et que les enfants à
charge avaient prit la place de ceux qu'elle aurait dut avoir.
Je ne
peu l'affirmer mais ça me semble plausible, parce que ses mômes
elle les considérait comme des bouches à nourrir.
Elle
ne leur parlait pas, elle leur criait dessus, pour n'importe quoi, le
ton était exclamatif.
Sa
politique était simple, qu'ils aient commis une faute ou pas, il
fallait les battre.
Chez
elle, on avait vite compris que la prévention était une constante.
Quand
elle ne trouvait pas quelque chose, elle désignait un coupable qui
l'avait déplacé, ou nous mettait en rang dans le salon. Là, tout
le monde s'en prenait, personne n'avouait, personne ne voulait se
faire rosser comme un chien et se faire descendre à la cave, alors
Mme Kerva en faisait craquer une ou un, là aussi le coupable était
de toute façon choisi par elle, l'angoisse c'était que ce ne soit
pas vous, et que l'interrogatoire cesse au plus vite.
Les
raisons pour se faire battre ne manquaient pas, il suffisait que la
télé reçoive mal pour qu'une de nous soit accusée d'avoir touché
à l'antenne.
Mme
Kerva ne remettait pas la punition à demain, c'était sur le champs.
Quand
je venais chez eux le samedi, je me demandais qui allait se faire
battre, est ce que ce serait mon tour.
Me
concernant, j'avais remarqué que les humeurs de Mme Kerva n'étaient
pas le fruit du hasard, elle choisissait précisément les semaines
où elle m'avait entendu crié. Certainement le plaisir de montrer
mes fesses tuméfiées à l'assistance. La première fois, je l'avais
supplié, je luis avait expliqué que j'avais été sévèrement
battue récemment, que je n'allais pas tenir.
Elle
ne voulait rien savoir et me demanda si elle devait descendre voir ma
mère.
Je
devais me déshabiller, nue. Mme Kerva demandait de venir me
prosterner à genoux sous son fauteuil où elle restait assise. Elle
me coinçait les aisselles avec ses chevilles et frappait mon
postérieur et mes plantes de pieds.
Elle
se levait pour terminer cette correction par des coups plus rudes. A
coups de ceinture elle me faisait rentrer sous son fauteuil dans la
même position, j'y restais, les main sur la tête, le haut du front
contre le parquet.
Son
fauteuil c'était comme un trône où elle passait une bonne partie
de ses journées à tricoter, rafistoler des fringues.
C'était
un fauteuil en bois, avec l'assise, le dossier et les accoudoirs au
rembourrage couvert de cuir. Sur un des accoudoir pendait la
ceinture, un cuir épais, marron, d'une largeur d'environ trois
centimètres. Le cuir était bien fait, lisse, souple comme du
caoutchouc, terminé par une boule en métal, un simple petit
rectangle ouvert aux coins arrondis.
Mme
Kerva se servait de moi comme d'un exemple d'obéissance, j'étais la
fille qui faisait ce qu'on lui dit quand on lui annonce la ceinture.
A vrai
dire, j'avais droit à un traitement de faveur, avec les autres elle
n'attendais pas qu'ils se déshabillent pour venir les frapper, dès
que des chairs nues apparaissaient la ceinture claquait de plus
belle. Ca ne les encourageait pas à se déshabiller, ce qui leur
valait des volées effroyables.
Des
protestations, des mains qui se levaient pour se protéger, et Mme
Kerva enroulait la ceinture autour de sa main pour frapper coté
boucle.
Si ils
avaient suivi la demande à la lettre et s'étaient prosternés, Mme
Kerva, debout, les retenant par les aisselles avec ses chevilles,
frappait à leur en faire regretter d'avoir obéi.
La
plus jeune, Malika était corrigée à coup de mule sur les fesses
nues, positionnée sur un genoux, les jambes retenues entre les
cuisses de Mme Kerva.
La
mère lui demandait de venir sur ses genoux se faire punir, à la
moindre hésitation , elle décochait la ceinture et la petite
courrait dans tout l'appartement pour éviter les coups, jusqu'à se
retrouver dans une impasse pour en recevoir de plus belle. Sa mère
la ramenait par l'oreille vers son trône où elle se faisait fesser
sur le genoux.
Quand
ils se faisaient punir, ça pouvait durer jusqu'au soir, après une
heure ou deux, Mme Kerva offrait une autre tournée, au pire ça
finissait par une mise à la cave pour une durée indéterminée. Une
fois Saïd y était resté près de deux semaines, et y recevait des
visites punitives.
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Un jour je suis parti à la pêche avec mon père arrivé sur place il me dit tu a pris les appât non a ce moment là il me mi sûr ses genoux me decullota et me fessa durement après je suis parti avec un petit lancé pour attrapé un gros poisson fier de moi il fesait cinquante cm de long bravo il est interdit de pêcher ce poisson reste la je reviens j ai tout de suite reconnu les baguettes de noisetier mon père me dit cul nu je baissait mon short doucement a ce moment la j ais reçu un grand coup de badine sur les cuisses vite j ai baissé mon short mon père me dit ne bouge pas en slip je ne craignaient rien erreur mon père commença à me fesser sur les cuisses et les fesses il prit mon slip me l enleva cul nue a grand coup de badine je reçu une belle fesser le soir il racontas tous a ma mère elle se leva de sa chaise empoigna le martlnet me decullota et m assénant une fouetter qui dura cinq minutes après le dîner vas dans ta chambre j arrive elle monte dans la chambre et me dit tu na pas obeis a ton père cul nue horreur elle avait les baguettes de noisetier a la main elle me mi une raclée sur chaque fesse je pleurais le lendemain matin j ai eu le droit a une nouvelle fouetter merci les poissons a plus
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