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vendredi 19 avril 2013

16_Mme Kerva



Madame Kerva, notre voisine du deuxième étage, gardait à son foyer quatre enfants, et ce n'était pas par bonté de cœur, non, c'était pour toucher des allocations.
Comme je l'ai appris plus tard, il n'étaient pas d'elle mais de cousines vivant en Algérie. Ils l'appelaient tout de même maman.
Avec son mari c'était un mariage arrangé, coutume de son pays natal.
Pour quelle raison ils n'avaient pas eu d'enfants ensemble, je ne l'ai jamais su.
Je suppose que le mari n'était pas fertile, et que les enfants à charge avaient prit la place de ceux qu'elle aurait dut avoir.
Je ne peu l'affirmer mais ça me semble plausible, parce que ses mômes elle les considérait comme des bouches à nourrir.
Elle ne leur parlait pas, elle leur criait dessus, pour n'importe quoi, le ton était exclamatif.
Sa politique était simple, qu'ils aient commis une faute ou pas, il fallait les battre.
Chez elle, on avait vite compris que la prévention était une constante.
Quand elle ne trouvait pas quelque chose, elle désignait un coupable qui l'avait déplacé, ou nous mettait en rang dans le salon. Là, tout le monde s'en prenait, personne n'avouait, personne ne voulait se faire rosser comme un chien et se faire descendre à la cave, alors Mme Kerva en faisait craquer une ou un, là aussi le coupable était de toute façon choisi par elle, l'angoisse c'était que ce ne soit pas vous, et que l'interrogatoire cesse au plus vite.
Les raisons pour se faire battre ne manquaient pas, il suffisait que la télé reçoive mal pour qu'une de nous soit accusée d'avoir touché à l'antenne.
Mme Kerva ne remettait pas la punition à demain, c'était sur le champs.
Quand je venais chez eux le samedi, je me demandais qui allait se faire battre, est ce que ce serait mon tour.
Me concernant, j'avais remarqué que les humeurs de Mme Kerva n'étaient pas le fruit du hasard, elle choisissait précisément les semaines où elle m'avait entendu crié. Certainement le plaisir de montrer mes fesses tuméfiées à l'assistance. La première fois, je l'avais supplié, je luis avait expliqué que j'avais été sévèrement battue récemment, que je n'allais pas tenir.
Elle ne voulait rien savoir et me demanda si elle devait descendre voir ma mère.
Je devais me déshabiller, nue. Mme Kerva demandait de venir me prosterner à genoux sous son fauteuil où elle restait assise. Elle me coinçait les aisselles avec ses chevilles et frappait mon postérieur et mes plantes de pieds.
Elle se levait pour terminer cette correction par des coups plus rudes. A coups de ceinture elle me faisait rentrer sous son fauteuil dans la même position, j'y restais, les main sur la tête, le haut du front contre le parquet.
Son fauteuil c'était comme un trône où elle passait une bonne partie de ses journées à tricoter, rafistoler des fringues.
C'était un fauteuil en bois, avec l'assise, le dossier et les accoudoirs au rembourrage couvert de cuir. Sur un des accoudoir pendait la ceinture, un cuir épais, marron, d'une largeur d'environ trois centimètres. Le cuir était bien fait, lisse, souple comme du caoutchouc, terminé par une boule en métal, un simple petit rectangle ouvert aux coins arrondis.
Mme Kerva se servait de moi comme d'un exemple d'obéissance, j'étais la fille qui faisait ce qu'on lui dit quand on lui annonce la ceinture.
A vrai dire, j'avais droit à un traitement de faveur, avec les autres elle n'attendais pas qu'ils se déshabillent pour venir les frapper, dès que des chairs nues apparaissaient la ceinture claquait de plus belle. Ca ne les encourageait pas à se déshabiller, ce qui leur valait des volées effroyables.
Des protestations, des mains qui se levaient pour se protéger, et Mme Kerva enroulait la ceinture autour de sa main pour frapper coté boucle.
Si ils avaient suivi la demande à la lettre et s'étaient prosternés, Mme Kerva, debout, les retenant par les aisselles avec ses chevilles, frappait à leur en faire regretter d'avoir obéi.
La plus jeune, Malika était corrigée à coup de mule sur les fesses nues, positionnée sur un genoux, les jambes retenues entre les cuisses de Mme Kerva.
La mère lui demandait de venir sur ses genoux se faire punir, à la moindre hésitation , elle décochait la ceinture et la petite courrait dans tout l'appartement pour éviter les coups, jusqu'à se retrouver dans une impasse pour en recevoir de plus belle. Sa mère la ramenait par l'oreille vers son trône où elle se faisait fesser sur le genoux.
Quand ils se faisaient punir, ça pouvait durer jusqu'au soir, après une heure ou deux, Mme Kerva offrait une autre tournée, au pire ça finissait par une mise à la cave pour une durée indéterminée. Une fois Saïd y était resté près de deux semaines, et y recevait des visites punitives.

1 commentaire:

Yves a dit…

Un jour je suis parti à la pêche avec mon père arrivé sur place il me dit tu a pris les appât non a ce moment là il me mi sûr ses genoux me decullota et me fessa durement après je suis parti avec un petit lancé pour attrapé un gros poisson fier de moi il fesait cinquante cm de long bravo il est interdit de pêcher ce poisson reste la je reviens j ai tout de suite reconnu les baguettes de noisetier mon père me dit cul nu je baissait mon short doucement a ce moment la j ais reçu un grand coup de badine sur les cuisses vite j ai baissé mon short mon père me dit ne bouge pas en slip je ne craignaient rien erreur mon père commença à me fesser sur les cuisses et les fesses il prit mon slip me l enleva cul nue a grand coup de badine je reçu une belle fesser le soir il racontas tous a ma mère elle se leva de sa chaise empoigna le martlnet me decullota et m assénant une fouetter qui dura cinq minutes après le dîner vas dans ta chambre j arrive elle monte dans la chambre et me dit tu na pas obeis a ton père cul nue horreur elle avait les baguettes de noisetier a la main elle me mi une raclée sur chaque fesse je pleurais le lendemain matin j ai eu le droit a une nouvelle fouetter merci les poissons a plus