Quand j'entendais évoquer la
correction, j'avais le souvenir des coups remonter dans mes chairs.
J'allais en recevoir une, c'étaient mes premières pensées. Il y
avait tout un lexique de mots qui me faisait penser en premier lieux
que j'allais me la prendre. Souvent ça ne me concernait pas, si
j'avais entendu le mot fesses, tout de suite, pour moi, c'était la
partie sur laquelle je me faisais corriger. Les fesses c'étaient la
punition qui me tombait dessus.
Mais on parlait de celles de quelqu'un
d'autre, de celles de mon cousin, et ça m'intéressait d'avantage de
savoir ce qui leur arrive. C'était le genre de discussion où ma
présence ne dérangeait pas, non, on discutait comment mieux nous
faire obéir. Le genre de discussion où l'on s'encourageait à
sévir.
Ma tante le rossait quand il apportais
une mauvaise note à la maison. Elle ne se plaignait pas de lui,
c'était un gentil garçon, il fallait le lui rappeler de temps en
temps, d'une manière sévère pour pas qu'il oubli. Ca c'était ce
qu'il recevait de sa mère, en ce qui concerne son père c'était
autre chose.
Il considérait que les coups de
ceinture feraient de lui un homme.
Mon cousin Mathieu portait sur son
visage la grimace de ceux pour qui il en découd sévère. Il en
avait dans sa gestuelle, dans son langage, toute l'allégorie du
garçon qui a peur de se faire punir. Je le connaissais bien, je le
lisais dans ses gestes, quand il demandais l'heure, par moments, je
voyais qu'il exprimait la conséquence d'un retard.
J'étais en visite, pour voir mon
cousin Mathieu, et je tombai directement sur une entrée de scène.
On rentrait directement dans le salon
dans leur appartement. On me fit m'installer confortablement.
Papa devait avoir un entretien avec
Mathieu, ça n'allait pas durer longtemps. Après il serait libre de
discuter avec moi. On lui avait dit d'enlever son caleçon et son
slip. Mathieu avait une tenue domestique, c'est sa mère qui le lui
avait imposé. A la maison il était en caleçons long et chemise, ou
pull. Tante Sandrine était de celle qui disent à leurs fils de
mettre un collant quand la température est à un certain degré. Ah,
c'était sa honte, je savais bien qu'il n'aimait pas qu'on lui fasse
porter ce type de vêtement. Ca le rendait incertain, perdu et plus
vulnérable. Personnellement j'aimais le coté chétif que ça
réveille. Je savais quand on lui en avait fait mettre, c'était
écris sur son visage, il avait ses tiques, il vérifiait si sa
chaussette était bien remontée et qu'on ne voyait pas un bout de
nylon qui dépasse. C'était les nylons chair de sa mère, elle lui
faisait porter ce qu'elle avait pour lui dans sa garde robe.
Je lui fis observer les miens que je
portais, il voyait que je voulais qu'il observe mes jambes, il
n'était plus gêné par son plaisir d'observer mes mollets. Je
remontais ma jupe jusqu'au niveau du genoux. Je lui dit que pour voir
plus haut, il faudrait qu'il le mérite. Il m'avait dit qu'il ferait
tout.
Là son père allait lui donner sa
ration de coups de ceinture sur les fesses nues. Sa mère avait l'air
satisfaite, il allait en prendre pour cause, il le savait bien, on
l'attendait pour le dîner et il était venu plus tard. Il était
resté en débardeur à bretelles fines et en chaussettes en nylon
opaque bleu marine. Ici on récupérait plus facilement des vêtement
de fille que de garçon, donc Mathieu, il fallait qu'il s'y fasse.
Sandrine lui fit remarquer que chez Cécile c'était plus sévère,
là bas on portait le vêtement jusqu'à ce qu'il s'use.
Mathieu pris la pose dans le salon, les
mains en appuis contre la table, les fesses cambrées.
Il essaya de garder sa dignité de mâle
devant son père les deux premiers coups. Ils avaient été rudes.
Il savait comment la prendre la
ceinture le père, une grosse en cuir, large, pliée en deux .
La troisième fois il n'était plus
fier, déjà au deuxième coup ça a commencé à vrombir dans la
bouche de Mathieu. Il en avait reçu dix comme ça, son père venait
de lui appliquer la règle dans sa demi mesure, c'est parce que
j'étais venue, il avait de la chance. La je marquais un point,
j'étais sa bienfaitrice, mais j'aurais été tout aussi satisfaite
de voir la punition exécutée jusqu'à sa fin. Voir comment il
dérouille pour de bon ici mon Mathieu. Il était venu me voir et
m'avait proposé un jeux, c'était le jeux des capitales, c'est lui
qui devait répondre, moi je notais combien il faisait de fautes. Il
m'avait demandé de lui donner un coup par fautes commises, il y en
avait une vingtaine, j'avais bien choisi, je voulais le piéger à ce
jeux la, tout comme pour l'instrument à l'usage. On avait convenu du
jour et du lieu, c'était chez ma mère, mes parents étaient partis
et nous laissaient seuls, J'avais calculé ce moment de la journée
où ils partiraient en fin d'après midi pour leur anniversaire. On
avaient aux moins trois bonnes heures devant nous, ce fut beaucoup
plus, mais j'étais méfiante. Moi aussi je montrait mes peurs.
Mathieu m'a demandé avec quoi on me corrigeait. Je suis allée
chercher la discipline, je le lui ai montré. Il m'a demandé si il
pouvait recevoir ses coups avec. J'étais surprise, et d'un coup son
idée m'a fait jouir, je devenais sa mère, et il allais prendre.
Je ne voulais pas qu'il puisse tenir
ses vingt coups, je voulais qu'il capitule assez vite, mais pas trop,
pour bien le voir souffrir à son extrême limite. J'avais choisi de
frapper ses mollets avec la discipline. Il portait des shorts courts,
je lui ai bien fait remonter ses chaussettes en nylon opaque beige
jusqu'aux genoux. Il me faisait dos, debout sur un tabouret en plein
milieux du salon.
Il ne se doutait pas où est ce qu'il
allait prendre, pourquoi il était dans cette position.
Je lui dit qu'il allais recevoir des
coups de martinet sur les mollets, il savait que sur les mollets ça
fait bien plus mal, il posait déjà la question, si il allait tenir,
il ne le savait pas.
Au premier coup il avait compris que
c'était insupportable vingt coups, déjà deux ça commençais à
faire beaucoup. Il sautait d'un pieds sur l'autre après le deuxième
coup. « Cécile, Cécile, je pourrais pas », me disait
il. Il faisait claquer les talons de ses sandales de femmes. Lui
aussi avait reçu quelques part de l'héritage de madame Lambrin,
quelques paire de mocassins, des sandales, et une paire de bottillons
fourrés pour l'hiver. Et tout cela était rehaussé par un talon
d'environ quatre centimètres. Les sandales, les mis bas, les short
et la chemise à manche courtes, c'était une de ses tenues d'été,
c'était aussi ainsi que je l'ai vu jouer au ballon.
J'étais là quand il les avait essayé
pour la première fois ses sandales. Ma mère et tatie Sandrine
s'entendaient très bien sur les vêtements à porter, elles étaient
d'accord là dessus que la tenue ça nous conditionne, et elles
avaient chacune leur raison de le faire. Pour ma mère, ma tenue
devais être irréprochable lorsque je sortais avec elle, elle me
dictait ce que je devais mettre de la tête au pieds, Ca avait
intérêt à être propre et bien repassé quand ça sortait de
l'armoire. Elle vérifiait. Mes chaussures devaient être luisantes.
Les collants, exclusivement fin, en nylon. Ma mère m'en assignait
parmi ceux qui m'avaient été offerts. Quand je sortais avec ma
mère, il fallait que je présente, surtout quand on allait voir de
la famille. Ma mère était fier de présenter sa fille dans une
tenue irréprochable, j'avais même droit au parfum qu'elle me
vaporisait. Elle voulait me présenter comme sa fille qui sait se
tenir et qui fait des courbettes, la fille exemplaire, mais avec qui
on a encore un peu de mal.
Pour Sandrine, la première idée
c'était que Mathieu apprenne à respecter ce qu'on lui donne.
Deuxièmement, les tenues qu'elle lui faisait porter le rendaient
timide et docile. Il n'était pas fier d'être habillé comme ça. Il
connaissait comme moi, ce que c'est que d'être humilié par ce que
l'on porte. Mais pour lui, ce devais être pire d'avoir à porter les
vêtement d'une femme d'un âge bien mur. Sandrine aimait montrer ses
cuisses, ses jambes, elle l'habillait court, avec des short, des
bermudas, des pantalons qu'elle avait raccourci au trois quart, les
plus long qu'il avait s'arrêtaient au dessus de la cheville. Il
avait de belles jambes bien fine, il était menu, il en imposait pas
face à son père, il obéissait sans discussions. Même durant la
punition, il restait sage, il se tenait bien, ce n'était pas parce
qu'il était punis qu'il avait droit aux conneries, il le savait
bien, et ça depuis longtemps.
Son père l'avait regardé menaçant,
il avait tout de suite compris, il a enlevé son caleçon et son slip
et s'est mis en position les mains en appuis sur le bord de la table.
Son père avait défait sa ceinture, c'était celle qu'il portait qui
était d'usage ici, et quand Mathieu voyait son père, il voyait la
ceinture.
La ceinture paternelle ça il
connaissait bien Mathieu, mais ici, on ne punissait pas
systématiquement, on pardonnait sous condition de bien obéir à sa
mère, sinon la ceinture, il la reverrait passer, et bien.
Sandrine avait fait l'accent sur sa
tenue domestique, c'est à la maison qu'elle le mettait le plus à
l'épreuve. Quand il rentrait il fallait qu'il se change. Il m'a
accueilli en tenue, c'était sa récompense pour saluer ma visite.
Chemisette col Claudette blanche avec des rayures rouges, courte,
jusqu'au bassin, mis bas opaques rouges portés avec un slip clair,
et ballerines rouges vernies aux pieds.
Il avait peur qu'elle recommence à lui
faire mettre des ballerines pour aller à l'école, comme quand il
était tout petit. Elle le soignait, elle lui faisait pas porter
n'importe quoi. Pour les punitions scolaires, c'était des salomés
plates à bout carré, en cuir marine, qu'il avait reçu au collège.
Je voyais qu'il les portait à l'école avec du nylon fin. C'était
sa mère qui l'avait puni cette fois. Il n'avait pas bronché, il
avait mis des bermuda gris foncé en laine, des mi bas noirs qu'il
avait baissé aux chevilles, après être sorti de la maison. Il
n'oublierait pas de les remonter en rentrant.
Il avait peur que sa mère le remette
aussi en shorts et en collants, comme en primaire.
Déjà à la maison, il avait droit à
tout. Elle le mettait en talons, en robes courtes, en body.
Elle lui avait même trouvé une tenue
pour aller voir son père, quand il allait s'en prendre une.
Chemise col Claudette blanche avec des
rayures verticales rouges, d'une longueur jusqu'au bassin, des mis
bas opaque rouges remontés jusqu'au genoux, des ballerines rouges
aux pieds et un slip clair.
C'était ainsi qu'il m'accueillais pour
la représentation près de la table.
Pour les mauvaises notes de l'école,
c'était sa mère qui s'en occupait.
Avant les enfants n'avaient besoin que
d'une bonne discipline pour bien apprendre à l'école. C'était ce
qu'appliquait Sandrine.
La discipline avec Sandrine, c'était
dans la chambre où elle couchait avec son mari et sa petite fille,
la sœur de Mathieu. C'était exclusivement la mère qui remettait en
place la petite. La ceinture sur les genoux elle connaissait déjà.
On ne se trompais pas sur la date pour commencer à sévir, ici.
Pour les mauvaises note Sandrine était
passée de la ceinture à la courroie d'une vieille machine à
coudre. Une bonne motivation pour réussir son entrée au collège,
cinq coups de courroie pour les notes en dessous de la moyenne,
c'était un bon élève, il était studieux.
Pour se faire punir elle lui faisait
porter un collant fin couleur chair sur la peau nue, des mules à
talon et un gilet beige, court, en mohair.. Il m'avait demandé de
l'accompagner à la maison après l'école, ce jour là. Il devait
faire signer la note par sa mère. Mis ça ne s'est pas passé comme
ça, pas parce que j'étais là. Aujourd'hui on allais sévir,
c'était dix coups et en tenue devant moi. Elle allait lui apprendre
à se servir de moi comme tampon, j'allais tout voir, elle allait lui
faire passer une honte.
Elle m'avait montré comment elle le
dresse d'habitude, je le voyais nu dans sa condition. Ca lui faisait
trop honte de me montrer comment il se faisait punir Son regard
criait déjà devant moi, comme si il se faisait violer mettant à nu
sa soumission.
Mathieu revenait, il venait tout juste
de mettre sa tenue, le collant chair sur les fesses nues. Un deux
ceux destinés aux comptes rendu des mauvaises notes, même pour
l'éducation physique, il fallait passer le cap, son père insistait
sur ça.
Aux pieds il était chaussé de mules
en cuir beiges à talons carrés haut de cinq centimètres. Son torse
était couvert d'un gilet beige en mohair, qui s'arrêtait à ses
hanches. Ses cheveux d'un blond clair se mariaient parfaitement avec
les tons de ses habits. J'étais conquise de le voir dans cet
apparat, j'étais conquise par sa honte, sa peur, sa souffrance, sa
voix, criante, suppliante, ses pleurs. Quand elle se découvrait
totalement, sa soumission était un amour pour moi. Sandrine
m'apportait la jouissance de le mettre dans cet état, je n'avait
d'yeux que pour lui, chaque palpitation était ressentie. Je serrais
mes jambes quand je regardais la scène, une excitation physique avec
une pression contre le pubis.
J'avais des orgasmes quand je le voyais
se faire battre,
Devant les hommes, Mathieu se sentait
bien inférieur, il sentait qu'il leur devait le respect.
Mathieu,c'était majoritairement la
main masculine qui l'avait éduqué. A l'école, avec les
professeurs, il faisait du zèle, toujours volontaire. Ce qu'il
cherchait c'était la main sévère d'un maître respectable et faire
la donzelle pour lui.
Mathieu était loin d'inspirer la
masculinité, sa mère se servait de cette ambivalence pour lui faire
porter ce qu'elle voulais.
Mathieu voulais jouer à la donzelle
avec moi, et ça ne me déplaisait pas, j'étais folle de ce genre de
jeux, j'étais sa maîtresse. Il était docile et serviable, sans
objections, sauf quand on jouaient à la punition où il fallait
qu'il eu commis une faute.
On se retrouvait en vacances, ses
grands parents chez qui il séjournait l'été, habitaient à
quelques maisons de chez ma grand mère.
Là, c'était son grand père qui
s'occupait de son cas. On allais avec grand père au sous sol, seul,
avec lui, dans cette pièce où il y avait la chaudière. A l'entrée
pendait la ceinture, une vieille, un cuir bien fait, gras, d'une
épaisseur généreuse, pas très large. Elle laissait des bleues
celle là, elle faisait hurler. Plus de deux coups on ne tenait pas,
après c'était l'enfer qui commençais là. Rentrant un soir avec
grand mère on passait par là. On avait entendu que ça crie, on est
allé vérifier, plus près, on a tendu l'oreille. De la rue on
entendait le cuir qui claque, les cris. C'était une tradition
masculine qu'on rappelait à Mathieu pendant les vacances.
« Ca vient du sous sol »
avait fini par dire grand mère, « c'est ton cousin qui doit
prendre, il a dut faire des conneries. » « Viens, on s'en
va».
Le lendemain, je suis allée sonner à
la porte, on m'a dit :
« Mathieu ne sort pas, il a été
puni pour la semaine. » Je le voyais passer quand on l'envoyait
faire une course, alors je lui retenais un moment. Je lui demandais
si il s'en était remis d'hier. A nouveau, il avait honte, ça allait
mieux, avait il dit. Je voulais qu'il me parle. Ce qu'il partagea
avec moi, c'était qu'il s'était fait punir par son grand père,
avec la ceinture, il sentait encore bien les marques qu'on lui avait
laissé, sur les fesses et le dos. C'était sur les parties couvertes
en été, Mathieu portait des short, qui laissaient par endroit
découvrir quelques bleues en haut des cuisses. Je pouvais être
certaine de la provenance du peu que j'en voyais, les marques était
apparues au lendemain de la correction, ça ne pouvait être que la
ceinture qui avait claqué plus bas, sur les cuisses.
Je lui avais amicalement posé la main
dans le dos en lui faisant la bise pour son bon chemin. Il avait
pris une aspiration, il a écarquillé les yeux et s'est raidi,
ferme. Il avait ravalé sa salive, timidement, il venait de me dire
qu'il avait prit sur son dos. Il avait du souffrir le martyre, je
comprenais mieux pourquoi je l'avais entendu hurler comme une truie
qu'on égorge, la veille au soir. Mathieu avait une peur bleue de son
grand père, quand les grandes vacances approchaient, il était
partager entre se réjouir et serrer les dents. Chez grand père, la
punition était martiale. Mathieu se positionnait en équerre, les
mains en appui sur un tuyau qui parcourait les murs du sous sol. Son
grand père lui laissait le temps de savourer chaque coup, de
déglutir.
Dans les jours qui suivaient l'arrivée
de Mathieu chez ses grands parents, Monsieur Morrin, son grand père,
l'emmenait au sou sol vérifier si il était toujours un garçon ou
pas. La vérification se faisait à coups de ceinture, toujours dans
la même position. Il avait intérêt à se la prendre comme un mec,
pas faire son cinéma, comme une gonzesse. Si il faisait sa
gonzesse, on allait lui mettre le talon ici. Madame Morrin avait pour
consigne de l'habiller en fille, et elle n'était pas radine sur la
coquetterie. Monsieur Morrin voulait voir une fillette devant lui, et
bien sage, si elle ne voulais qu'on vérifie les faits avec une
ceinture. Sa grand mère avait des stocks et elle en faisait une
demoiselle respectable, avec des barrettes dans les cheveux, de
socquettes en nylon, des ballerines, des robes courtes. Il restait en
fille jusqu'à qu'il dise à son grand père que cette fois il la
prendrais comme un garçon, c'était sur.
Je le voyais passer en fille, envoyé
pour faire des courses. C'était une fille, en dehors de sa démarche,
je ne le reconnaissais pas. J'allais lui donner des leçons sur sa
démarche, comment il devrait se tenir quand il est habillé comme
ça. Je voulais l'aider à ce qu'il soit une fille.
Après tout, à part la honte, il
n'avait rien contre les socquettes. Il aimait venir me montrer
comment on l'avait puni, il faisait sa coquette. Si il savait
Monsieur Morrin que son petit fils joui de sa punition, qu'il me
montre ses cuisses avec appétit, je voulais tout connaître de lui,
ainsi que ses points faibles. Je voulais pouvoir le manipuler, pour
le reprendre sous ma botte. Je voulais qu'il m'aime et qu'il
m'obéisse. J'aimais le faire bander, et je connaissais son point
sensible, c'était que je ressemble à sa mère, à celle qui
distribue des coups de courroie quand il ramène des mauvaise notes
de l'école. Il aimait que je le dresse, que je lui fasse peur en
racontant des histoires sur ce que j'allais lui faire. Il avait droit
à sa récompense, caresser mes pieds et mes jambes jusqu'au genoux.
Gare à lui si il dépassait la limite, je l'attachais où je
pouvais, il s'est laissé faire au départ, je lui est
voluptueusement amené l'idée de se faire attacher. Je lui ai ficelé
ses poignets à une branche avec mes mis bas qui ultérieurement
marquaient la limite de ce qui lui était autorisé de toucher.
Des jeunes baguettes de noisetiers,
j'en avait tout autour.
8 commentaires:
Hum les bonnes baguettes de noisetier fraiche comme ça claque bien.Et les marques aussi.
c'est un beau récit, avec quelque chose de très personnel dans la façon de dire, c'est plein de fautes de français mais ce n'est pas grave.
Mais où est la suite, peut être qu'avec quelque coups de baguettes....
je plains l education sadique que vous avez recu fouetté avec du fil eletrique attaché a la cave votre mere et votre pere etaient tres cruelle avec vous moi aussi j ai recu des fessées meritées a la main et au martinet par mes parents en pension par des surveillantes ou des directrices mais ses fessées etaient meritées j ai connu les culottes ultra courte jusqua 16 ans je suis née en 1940 les corrections recu 16 ans par la directrice qui aimait me fouetter cul nul a l epoque javais un derriere grasouillet ce qui etait humiliant pour moi je du me soumetre au martinet un jour mes douleurs se transformere en plaisir ma correctrice vie que j etais en erection cette directrice etait tres belle et je me soumettais a sonfouet par amour pour elle je me mis a rechercher avec elle de nouvelles fessées
Ma mère etait une adepte des collants et m'a fait porté collant sous mes shorts jusqu'à 14-15ans à la fin du collège. Des collants de fille pour un garcon c'etait la honte surtout vers 13-14 ans. Mais j'y ai eu droit tout comme des petits chemisiers de fille rose, des ballerines, les cheveux long avec les barettes, voir parfois le week end ou lors de ceremonie la jupe. Là c'etait la honte totale mais ca plaisait aux amies de ma mère qui me felicitait pour ma tenue. Alors ca encourageait ma mère...
C'etait aussi encouragé par mon père qui voulait un garcon docile et il n'hésitait pas pour cela à la moindre incartade à la maison ou à l'ecole à me punir sévèrement : féssée deculottée à la main et au martinet, voir parfois fouetté à la ceinture et ca que ce soit à la maison seul ou en présence d'invités, au magasin ou devant l'ecole à la sortie tiré par l'oreille.
Un jour ma mère discutai avec ma tante pour les vacances tata ne pouvait pas me prendre mai connaissait une colonie de vacances ou le matin on avait des leçons très bien juste ce qu'il faut quatre jours après je me retrouvais la bas le lendemain matin nous étions en classe exercices de calcul 5 sur 20 la directrice me dit 11 tu devrais avoir cette note au moins elle me decullota et me tennant par le bras m admlnlstra une bonne fesser soixante claques sur chaque fesse ma mère avait dit dix claques ou martlnet ou ce que vous désirez par différence de point jusqu'à 12 la directrice j ai fait une erreur elle me decullota prit par le bras m admlnlstra une correction de toute volé de vingt coups sur chaque fesse au martlnet le lendemain en dictée j ai eu un 8 la c est la maîtresse qui devant tous les élèves ma déculottée et a commencé à me fesser avec une belle énergie et une règle plate de cinquante cm sur cinq cm et vlan quarante coups sur chaque fesse les leçons était dur après une semaine ayant été punis tous les jours ma mère lu avec attention le carnet dessus atait indiquer toute les punition que j avais recu et les instrument prescrit le lundi matin afin de faire voir sa sévérité ma mère me dit tu vois ce carnet bien elle me decullota et me fessa durement a main nu puis elle allas chercher le martlnet dans la commode et me tennant par le bras m admlnlstra une correction de toute volé une fois fini je pleurais car elle avait doublé la fesser du carnet tous les jours je recu ma raclée elle n avait pas de règle
Elle prit le claquoir ensuite cravache egal ceinture le pire ce fût le dimanche matin ma tante venais d arrivé ma mère lui dit tu est ok elle se levair mon attrapé chaque une par un bras me deculloterent et commença à me fesser tata étant gauchere bouge pas ont reviens une heure après entrant dans la chambre qui a dit de t habillé c est pas bîen elle me decullota et me fessa de belles manière au martlnet chaque une sa fesse la punition dura toute la matinée j ai sus plus tard que j avais recu le récapitulatif de ma semaine de colo d'où la présence de Tata pendant cinq ans j ais eu la colo et la dernière année ma mère m'a inscrite deux semaines ce qui me value un moi de fessage journalier merci la colo a plus
Je suis née en 75. A partir de 10 ans, suite à des insolences répétées de ma part. Mes parents ont décidé de me discipliner sévèrement. Je me souviens comme si c était hier de ce samedi où mes parents m ont demandé de venir au salon. Mes 2 soeurs étaient assises sur le canapé. Mon père nous a annoncé que dorénavant, pour tous refus d obéissance, mensonge, note inférieure à 12... nous serions déculottées et fessées. Ce jour là, j ai été la première à passer sur les genoux de mon père, jupe relevée et culotte aux chevilles. Et 2 ans après , le martinet et la ceinture ont succédé à la main de mes parents. J ai également reçu la fessée déculottée devant des copines, sur le parking de l école, devant mon prof particulier...
En tant que mère , je n ai jamais donné de fessées, en revanche, mon mari a continué la discipline parentale pour mon plus grand bien.
Marrant la personne du 4 juin moi Yves j'ai eu les mêmes expériences et les ai déjà raconter alors en voilà une bonne un matin ma mère me dit tu peux aller chez la merciere pour faire voir ton carnet de notes. Oui maman arrivé la bas
La merciere: bien mon petit pas une note en dessous de onze
Moi: (fière je lui dit) je vous ai tous eues et vous pouvez renger votre claquoir
Elle me dit très bien mais je n'aime pas que l'ont se moque de moi
Elle me prit par le bras me decullota et me fessa de belles manière à main nu pendant deux bonne minutes puis prit le claquoir et commença à me fesser la je me suis mi a pleuré puis elle prit le martlnet et m'a donné une flageller magistrales sur les cuisses et les fesses je criait elle était sans pitié en rentrant a la maison maman me dit cela c'est bien passé vient ici m attrapent par le bras elle me decullota et me mi au coin cul a l air m'intimant je vais en courses tu ne bouge pas depuis 8 heure du matin a 11 heures j'ai eu envie de pipi j'y suis aller pas de chance ma mère entra a ce moment là
Elle: je t'avais dit de ne pas bougé (mai maman même pas pour faire pipi) monte dans la chambre
En entrant dans la chambre elle avait le martlnet a la main
Elle me dit deculotte toi une fois cul nue he bien elle ne ta pas rater la merciere même après 3 heures tu encore les fesses et les cuisses bien rougis me plaquant sur le lit a plas ventre elle m'adminitra une vigoureuse claqué cinglé sur les fesses et les cuisses la j'ai hurlé car après la première fesser la deuxième fait deux fois plus mal le soir elle le racontait a papa qui me decullotait pour m'administre une bonne fesser a main nu après cette cette journée je peut vous dire que 3 fessées une le matin une a Midi une le soir j'ai eu mal au fesses pendant deux jour mais je l'avait mérité a plus
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