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vendredi 13 juillet 2012

14_Transition




Les journées se rafraîchissaient, Lucien n'attendit pas un instant pour exiger le pantalon. bien que la température restait suffisamment douce.
Ses quelques paires, je les gardais dans mon armoire, elles lui étaient réservées pour la saison hivernale, pas avant.
Son ton provocateur m'irrita, mais je préférais avaler cette épine et répondre à sa demande d'être vêtu plus chaudement. Lucien enviait son frère que je ne contraignais pas au port systématique de la culotte courte ou du bermuda.
Il était hors de question que je cède au chantage du morveux, une inflexion de ma part et il me mangerait crue.
Je trouvais vite une réponse à mon dilemme dans l'armoire de Christine.
Je revins vers Lucien. Dans leur chambre, les deux garçons se préparaient pour aller à l'école, et Lucien attendait son pantalon.
Je lui tendis un collant chair qui s'ajusterait parfaitement à sa taille. Il ne savait pas très bien ce que je lui donne, je précisais :
« Tu mets les collants Lucien. »
Il venait de comprendre qu'il n'aurait pas gain de cause sur les culottes courtes. Comme par magie, la température venait de remonter, maintenant Lucien disait qu'il ne faisait pas si froid, il promit de ne pas rechigner à mettre son bermuda.
Encore une fois il voulait me prendre pour une conne, je sortis de la chambre en lui rappelant que je ne répéterais pas deux fois.
Lucien arriva au salon pour le petit déjeuner, d'un regard accusateur je fis l'inventaire de sa tenue de la tête aux pieds. Chemise, gilet, bermuda, les chaussettes tendues au dessus des chevilles et les chaussons. Mon regard resta un moment sur ses jambes, puis remonta sur son visage avec l'expression de dire qu'il se foutait de ma gueule. Dès qu'il me vit d'un pas décisif prendre la direction de la chambre de sa mère, il fila droit dans sa chambre parfaire au manquement dont il était question. La perspective d'avoir à déglutir durant le chemin de l'école le réjouissait encore moins.
La ceinture enroulée à la main, prête à l'usage, j'arrivais à vive allure dans la chambre où le processus en était à enfiler un pieds. La ceinture cingla le rythme jusqu'à ce que les collants soient impeccablement tendus au dessus des fesses.
Cette remise au pas lui avait juste laissé le temps de débarrasser la table après le petit déjeuner.
Lucien avait reçu de quoi déglutir jusqu'à son arrivée en classe.
Aux portes de l'école je lui annonçais qu'à son retour à la maison on allait parler discipline, la ceinture l'attendait. Cette remarque avait juste pour objet de porter d'avantage attention à son attitude.
Des collants je lui en avais acheté, de quoi en porter tous les jours, des gris en coton mélangé, marrons et blancs en laine, des opaques marines en nylon, et quelques chair qu'il pouvait porter avec des chaussettes. Il en avait un rouge opaque que j'utilisais pour éprouver son obéissance quand elle était remise en question.
Les collants étaient placés dans mon armoire, et j'avais appris à Lucien de venir me les demander, comme si il s'agissait d'un objet désiré.
« Je peu avoir un collant Cécile ? »
La tenue ne manquait pas de lui inspirer la timidité et la modestie, j'en étais satisfaite. Je fit part de ses vertus à Christine. Ma tante considéra la tenue très convenable pour un garçon de l'âge de Lucien. Elle me conseilla de l'appliquer à Jérôme pour plus de parité et surtout, pour prévenir la naissance d'un mauvais caractère.
La parité, je n'y tenais pas spécialement.
Pour Jérôme, les collants, c'était exclusivement en coton et en laine, les pantalons trois quart, et les bermudas quand sa mère venait.
Jérôme s'irritait contre la volonté maternelle quand je lui rappelais :
« Jérôme, tu sais ce qu'a dit ta mère, tu mets tes collants. »
La ceinture resta un long moment rangée dans l'armoire, Lucien en avait peur comme de la peste.
Au moindre mécontentement que j'exprimais par :
« Lucien ! », il se reprenait, la mauvaise humeur passait de suite, la protestation était ravalée sans qu'on eu à en entre un mot.

Ma tante Christine avait rencontré un homme, un client régulier de l'hôtel, moitié bavarois, moitié autrichien, Ulrich.
Il vint passer quelques jours chez ma tante.
La cinquantaine bien passée, ventru, le crâne rasé cachait sa calvitie, souriant, son assurance lui donnait un coté désinvolte.
Quand à ce qu'il racontait, pour moi c'était du fantastique, mais comme j'avais envie d'y croire, je gobais tout. Le pic du programme c'était le yacht de vingt cinq mètre dans l'Adriatique, et je savais même pas où c'est, l'Adriatique.
Originaire de Munich, où il avait son pieds à terre principal, il avait voyagé un peu partout.
A travers ses récits je voyageais dans ma tête, Londres, New York, Rome, Tokyo, et même la Corée du Nord qu'il avait décrit comme l'endroit le plus triste de la planète.
Ses affaires, c'était la commerce d'oeuvres d'art, et visiblement pas des moindres, j'avais entendu « Picasso » dans ses discours, pour le reste, je connaissais pas.
Encore une vanité qu'il m'a fallut entendre, c'était que son père lui avait dit de toujours acheter Mercedes comme voiture, et depuis qu'il était étudiant il n'avait que cette marque.
Lui aussi était divorcé, père de famille, il avait trois enfants déjà adultes.
Moi, je l'amusais, je lui rappelais une cousine, qu'il avait dépeint comme psychorigide. Il avoua l'avoir beaucoup molesté psychologiquement, mais sans succès, c'était un cas désespéré.
Il s'amusait à me lancer des pics, avec son accent deutch, il me déstabilisait dans mes convictions qu'il considérait comme des foutaises de prolo.
Là dessus, il était catégorique, le monde se divisait en deux catégories, ceux qui profitent de la vie et ceux qui baissent leur froc.
A chaque fois qu'il venait voir sa chérie, ma tante, c'était le lavage de cerveaux, et la Mercedes dernier modèle de l'époque était pour moi un gage de confiance.
Je commençais à douter, de plus en plus, Ulrich avait certainement raison et moi j'étais une conne, une gamine qui devait encore faire ses classes, mais qu'est ce que je pouvais y faire, dans ma condition on ne pouvait que rester une conne.
Ulrich appréciait peu mon autorité sur les enfants, il fallait arrêter le massacre, et au plus vite.
Il était prévu pour ma tante d'aller vivre à Munich et de me soustraire à mes obligations.
Je m'en faisais un sombre tableau, aller vivre à nouveau chez ma mère ne m'enthousiasmait guère.
Pour plaire, j'avais mis du leste dans l'éducation, mais ça ne changerait rien, j'allais prendre congé de mes services.
Ulrich me demanda si j'avais d'autres ambitions que les ménages et la baby sitting, peut être avais je envie d'étudier, comme c'était le cas pour les filles de mon âge.
J'étais honteuse de répondre que je n'avais même pas passé le brevet.
Ulrich me sourit et me demanda à nouveau de répondre à sa question, avais je envie de faire des études.
La réponse fut oui, suivie des questions comment et quoi.
Ulrich me suggéra le graphisme, c'était, à sa connaissance, un milieu où l'on n'était pas très regardant sur les diplômes. Il affirma que je pourrais travailler dans la pub, un endroit rempli de démagos et d'imbéciles, ça allait me plaire.
La seule condition était que j'ai le courage d'apprendre, je confirmais.
La question du comment me restait toujours obscure.
Ces promesses était une vague lueur d'espoir, et je m'attachais au peu qu'on m'en ai dit, tête basse, je rentrais vivre chez ma mère.


vendredi 6 juillet 2012

13_Tolérance




Tante Christine appelait régulièrement pour savoir si tout ce passait bien.
Je donnais des comptes rendus positifs, sans omettre de mentionner que l'attitude de Lucien a nécessité quelques rectifications.
Christine, puisque c'était ainsi que ma tante préféra que je m'adresse à elle, me confirma que Lucien s'était plaint d'avoir été battu. Elle regrettait que je dût en venir à cette pratique pour le remettre en place.
Je la rassurais sur notre contrat tacite, il n'y avait nulle raisons pour elle de s'excuser devant moi, je considérais que dispenser la discipline rentrait intégralement dans mes obligations, et cet usage me facilitait le travail. Je demandais simplement à Christine de soutenir mes efforts à son arrivée par une confirmation démonstrative de la méthode à appliquer en cas de mauvaise tenue.
Ma tante me promis qu'elle ôterait à Lucien l'envie de se plaindre, les jupes de maman ne lui seraient pas d'un grand secours pour justifier son arrogance.
Elle allait lui en filer une sévère, une comme il n'en avait jamais connu, il en n'oublierait même son nom. Christine craignait de mon désengagement et voulais régler l'affaire au plus vite pour avoir l'esprit et les mains libres.
C'était là le dernier point d'autorité que je voulais régler avec Lucien, avant de parfaire son comportement.
Jérôme avait eu droit aux félicitations pour avoir pris une position convenable de son propre chef.

Lucien se tenait à carreaux, sans pour autant, l'esprit vengeur et confiant, manquer de me lancer des pointes. On verra quand sa mère va revenir, elle me clouera le bec.
Je ne répondais pas à ses agressions, le laissant vivre dans cette illusion triomphante.
Du moment qu'il ne bronchait pas plus que ça dans son attente, je ne jugeais pas nécessaire de changer de ton.
Plus le jour de vérité approchait, plus Lucien se dissipait, je laissais faire, les arguments supplémentaires qui justifiaient de lui serrer la visse étaient les bienvenus.
C'est avec éloquence qu'il révéla sa sournoiserie quand sa mère arriva, il ne m'obéissait plus.
Jérôme qui avait acquis mon attention et ma sympathie couvrit la table et m'aida à accueillir.
Lucien comptait me faire passer pour une conne, qui a sur lui encore moins d'autorité que sa mère, il n'obéissait qu'à la demande de maman.
Je déconseillais à Christine de répéter à Lucien mes ordres, Jérôme s'en chargeait avec engouement, il débarrassa la table. J'en fus agréablement surprise, craignait il des conséquences, ou voulait il simplement me plaire. Si je m'étais montrée intransigeante avec Lucien, Jérôme avait eu droit à l'indulgence et aux câlins, il en était devenu friand, complètement addict.
J'avais remarqué que périodiquement il lorgnait mes jambes, certainement mes fesses quand j'avais le dos tourné. Je faisais semblant de ne pas le remarquer pour ne pas lui inspirer la peur d'avoir fait une faute.
A vrai dire, ça m'était agréable de le savoir ainsi troublé. Il prétextait de lui lire une histoire pour venir s'asseoir sur mes cuisses, Quand nous regardions la télé il s'asseyait sur la moquette collé à mes jambes. Plus le temps passait, plus cette proximité se renforçait.
Alors que je lisais allongée sur le canapé dans le salon, Jérôme s'asseyait à mes pieds et les caressait, je continuais à lire comme si il n'en fut rien. Un de ses jeux favoris, s'allonger sur mes genoux pour que je lui donne, à la main, une fessée fictive. Certainement une réminiscence du souvenir des fessées de sa mère.
Lucien en rageait de voir son frère constamment fourré entre mes jambes. J'avais créé une fausse abyssale entre les deux frères. L'un me demandais en mariage, et je jouais le jeux, l'autre me haïssait, moi comme Jérôme, qu'il avait décidé de molester derrière mon dos ou inventer des supercheries pour le faire punir.
Mais ça ne passait pas, je les connaissais maintenant trop bien pour être dupe, par la récompense j'encourageais Jérôme à me dire ce qui se passe vraiment, et sa parole avait foi.
Les sournoiseries de Lucien déclinaient sans conteste, par l'application de rétributions adéquates, privations, corvées, corrections.
Christine ne reconnaissait plus le Lucien d'antan, c'était devenu un garçon docile, « oui maman », « oui Cécile », « tout de suite Cécile ».
Si elle croyait l'attitude de Lucien sincère, moi je savais qu'elle n'avait qu'un seul fondement, celui de lui tanner régulièrement le cul. Si elles n'étaient pas sincères, c'est par l'habitude qu'elles rentreraient dans son crâne, les bonnes manières.
Une seule fois Jérôme avait tenté un subterfuge avec moi, et ce fut l'unique. Je découvris la tâche, certainement du jus de framboise, sur le canapé en velours beige du salon. Ils furent appelés tous deux à se dénoncer. Jérôme prétendit qu'il était responsable, ils savaient tous deux que je ne le battais pas. Il mentais, je le voyais dans ses yeux, dans son manque d'assurance à avouer la faute.
Etait ce pour trouver un moyen de protéger son frère et remonter dans son estime, ou bien Lucien l'avait il menacé, j'allais vite le savoir.
J'annonçais à Jérôme la fessée, à la ceinture, sur ses fesses nues. Il n'en revenait pas, je sentais son hésitation à me dire la vérité, ses yeux suppliaient « c'est pas moi ». Ca me faisait mal au cœur d'avoir à lui donner une correction, mais je n'avais pas le choix, il s'était joué de moi, et les conséquences devaient être suffisamment sévères pour lui ôter ces idées de la tête.
La tête basse il m'apporta la ceinture, pensait il encore que la correction serait fictive.
Elle ne le fut pas, je m'assis sur le canapé, jupe relevée, plaçant Jérôme à cheval sur ma cuisse, son torse sur le coté gauche, plaqué, retenu d'une main, dans l'autre main, la ceinture pliée en deux s'abattait à rythme régulier sur ses fesses nues.
La vérité sortit aussitôt de sa bouche, c'était Lucien qui l'avait forcé. Je lui expliquais qu'il serait comme même puni, parce qu'il m'avait menti, et qu'il m'avait fait très mal, je ne m'attendais pas à ça de lui, et je ne voulais plus jamais que ça recommence.
Il avait honte, il s'excusait, et c'était sincère.
La punition fut suffisamment sévère pour qu'il s'en souvienne bien, mais suffisamment indulgente pour éviter sa haine, pour qu'à la fin il accepte sans peine mes tendres consolations.
Voilà, c'était fini, je pris Jérôme contre moi et il enroula ses bras autour de ma taille pleurant la tête contre mon ventre.
Il promis de plus me mentir, plus jamais, je savais aussi qu'il l'avais bien senti passer, et qu'il ne voulais plus la revoir la ceinture.
C'est à Lucien que j'ordonnais de la remettre en place, lui ne comprenais pas comment son frère pouvais venir pleurer contre moi alors que je venais de lui coller une rouste. Encore une fois je vis la haine dans le regard de Lucien.
Demain on parlerais de son influence sur son frère, lui dis je.
J'emmenais Jérôme dans ma chambre, allongé sur mon lit, je lui passais de la pommade. Il dormirait avec moi ce soir, ça faisait partie des consolations. Il s'allongea sur moi, ses jambes autour de ma cuisse et s'y frotta jusqu'à trouver l'apaisement.
Depuis, venir dormir dans mon lit était devenu pour lui une friandise occasionnelle, par laquelle je le récompensais pour notre bonne entente, et spécialement quand il trouvait le courage de dénoncer des méfaits notables de son frère qui pouvaient m'échapper. C'était pour le protéger d'une éventuelle colère de Lucien qui venait de se faire corriger, pour le soustraire de la mauvaise humeur de son frère, que, particulièrement dans ces cas , j'invitais Jérôme à dormir dans ma chambre.

Christine, tout comme moi, voyait qu'on ne pouvait se passer d'une sérieuse remise en place dans l'attitude de Lucien.
La séance était prévue pour le lendemain, un samedi après midi, après la sortie de l'école.
L'intéressé Lucien fut convié à recevoir des explications au salon, nous l'attendions tous de pieds ferme. Assise les jambe croisées dans le fauteuil, j'attendais, curieuse, la prestation de Christine.
Près de moi Jérôme attendais lui aussi, les fesses sur la moquette, adossé au fauteuil.
Remontée, les nerfs tendus, Christine explosa comme le tonnerre qui gronde.
Quand Lucien essaya d'en placer une, il se pris une gifle, il n'avait certainement jamais vu sa mère dans cet état.
Dans toute l'éloquence d'une engueulade supposée lui faire remonter ses sucs gastriques, Lucien se faisait traité d'ingrat et était sommé de respecter mon autorité à la lettre.
Christine lui annonça qu'il recevrait la ceinture, et s'empressa de la chercher. Je vis que Lucien ne fut pas spécialement affecté par la sentence.
Christine revint avec une ceinture en imitation cuir, noir, large. Il était vrai qu'elle faisait peur, mais c'était bien son unique avantage, elle ne m'était pas inconnue, je l'avais remarqué dans la garde robe de ma tante. Pour moi elle ne présentait pas d'autre intérêt que décoratif. Trop légère pour un usage punitif.
Je comprenais mieux maintenant pourquoi la ceinture de maman ne suggérait à Lucien aucune vertu dissuasive.
J'intervins dans la décision de ma tante :
« Pas avec cette ceinture Christine. Jérôme, apporte nous la bonne. »
« Non ! » Lucien entra dans une série de protestations, il voulu s'enfuir, mais sa mère l'agrippa par le col.
« Dépêche toi Jérôme, apporte moi cette ceinture ! » Cria Christine en retenant Lucien qui se débattait. Je lui vin en aide scellant mes mains autour des poignets de Lucien.
En écartant ses bras, je tirais Lucien vers moi dans une position basse pour venir coincer sa tête entre mes genoux. Tirant sur ses bras je fis glisses sa tête entre mes cuisses jusqu'à ce que sa nuque vienne se coller à mon pubis.
Je remarquai que cette position, non seulement interdisait à Lucien de soustraire son cul, mais aussi éviterait à Christine d'être attendrie par le visage suppliant de son fils.
La ceinture arriva, je conseillais à Christine de l'enrouler autour de la main et de prendre une bonne distance pour officier.
Ca pleurait, ça hurlait sous ma jupe, je sentais des dégoulinures visqueuses sur mes cuisses.
Christine appliquait frénétiquement les volées sur le postérieur cambré de l'ingrat.
J'étais toute excitée, je maintenais Lucien par les aisselles, j'avais changé ma prise, non seulement pour plus de fermeté mais aussi pour affirmer d'avantage la pression entre sa nuque et mon pubis.
Les suffocations que je ressentais entre mes cuisses ne laissaient à Lucien aucune place pour des protestations.
Les fesses de Lucien étaient zébrées en rouge sur toute leur surface, je stoppais Christine, ivre dans son élan de bien faire, elle ne mesurait certainement pas la force de ses impacts, et bien heureusement ma jupe lui cachait les symptômes dans leur ensemble.
Quand je relâchais Lucien, il tomba à terre et se recroquevilla dans les râles, Christine compris qu'elle avait largement dépassé son dû, mais n'en afficha que satisfaction.
Loin des yeux, et loin du cœur.
Les jours consécutifs, Lucien mimait la démarche des canards, Jérôme nous rapporta que son frère ne mettait pas de culotte, certainement l'élastique ou autre contrainte le forçait à cette commodité.
Ce détail ne manqua pas de s'ajouter à ma satisfaction.
Avant de partir, Christine mis en garde Lucien. Si elle entendait ne serait ce qu'une seule plainte de ma part à son égard, elle n'hésiterait pas à lui en coller une semblable, voir pire.