Tante Christine appelait régulièrement pour savoir si tout ce passait bien.
Je donnais des comptes rendus positifs,
sans omettre de mentionner que l'attitude de Lucien a nécessité
quelques rectifications.
Christine, puisque c'était ainsi que
ma tante préféra que je m'adresse à elle, me confirma que Lucien
s'était plaint d'avoir été battu. Elle regrettait que je dût en
venir à cette pratique pour le remettre en place.
Je la rassurais sur notre contrat
tacite, il n'y avait nulle raisons pour elle de s'excuser devant moi,
je considérais que dispenser la discipline rentrait intégralement
dans mes obligations, et cet usage me facilitait le travail. Je
demandais simplement à Christine de soutenir mes efforts à son
arrivée par une confirmation démonstrative de la méthode à
appliquer en cas de mauvaise tenue.
Ma tante me promis qu'elle ôterait à
Lucien l'envie de se plaindre, les jupes de maman ne lui seraient pas
d'un grand secours pour justifier son arrogance.
Elle allait lui en filer une sévère,
une comme il n'en avait jamais connu, il en n'oublierait même son
nom. Christine craignait de mon désengagement et voulais régler
l'affaire au plus vite pour avoir l'esprit et les mains libres.
C'était là le dernier point
d'autorité que je voulais régler avec Lucien, avant de parfaire son
comportement.
Jérôme avait eu droit aux
félicitations pour avoir pris une position convenable de son propre
chef.
Lucien se tenait à carreaux, sans pour
autant, l'esprit vengeur et confiant, manquer de me lancer des
pointes. On verra quand sa mère va revenir, elle me clouera le bec.
Je ne répondais pas à ses agressions,
le laissant vivre dans cette illusion triomphante.
Du moment qu'il ne bronchait pas plus
que ça dans son attente, je ne jugeais pas nécessaire de changer de
ton.
Plus le jour de vérité approchait,
plus Lucien se dissipait, je laissais faire, les arguments
supplémentaires qui justifiaient de lui serrer la visse étaient les
bienvenus.
C'est avec éloquence qu'il révéla sa
sournoiserie quand sa mère arriva, il ne m'obéissait plus.
Jérôme qui avait acquis mon attention
et ma sympathie couvrit la table et m'aida à accueillir.
Lucien comptait me faire passer pour
une conne, qui a sur lui encore moins d'autorité que sa mère, il
n'obéissait qu'à la demande de maman.
Je déconseillais à Christine de
répéter à Lucien mes ordres, Jérôme s'en chargeait avec
engouement, il débarrassa la table. J'en fus agréablement surprise,
craignait il des conséquences, ou voulait il simplement me plaire.
Si je m'étais montrée intransigeante avec Lucien, Jérôme avait eu
droit à l'indulgence et aux câlins, il en était devenu friand,
complètement addict.
J'avais remarqué que périodiquement
il lorgnait mes jambes, certainement mes fesses quand j'avais le dos
tourné. Je faisais semblant de ne pas le remarquer pour ne pas lui
inspirer la peur d'avoir fait une faute.
A vrai dire, ça m'était agréable de
le savoir ainsi troublé. Il prétextait de lui lire une histoire
pour venir s'asseoir sur mes cuisses, Quand nous regardions la télé
il s'asseyait sur la moquette collé à mes jambes. Plus le temps
passait, plus cette proximité se renforçait.
Alors que je lisais allongée sur le
canapé dans le salon, Jérôme s'asseyait à mes pieds et les
caressait, je continuais à lire comme si il n'en fut rien. Un de ses
jeux favoris, s'allonger sur mes genoux pour que je lui donne, à la
main, une fessée fictive. Certainement une réminiscence du souvenir
des fessées de sa mère.
Lucien en rageait de voir son frère
constamment fourré entre mes jambes. J'avais créé une fausse
abyssale entre les deux frères. L'un me demandais en mariage, et je
jouais le jeux, l'autre me haïssait, moi comme Jérôme, qu'il avait
décidé de molester derrière mon dos ou inventer des supercheries
pour le faire punir.
Mais ça ne passait pas, je les
connaissais maintenant trop bien pour être dupe, par la récompense
j'encourageais Jérôme à me dire ce qui se passe vraiment, et sa
parole avait foi.
Les sournoiseries de Lucien déclinaient
sans conteste, par l'application de rétributions adéquates,
privations, corvées, corrections.
Christine ne reconnaissait plus le
Lucien d'antan, c'était devenu un garçon docile, « oui
maman », « oui Cécile », « tout de suite
Cécile ».
Si elle croyait l'attitude de Lucien
sincère, moi je savais qu'elle n'avait qu'un seul fondement, celui
de lui tanner régulièrement le cul. Si elles n'étaient pas
sincères, c'est par l'habitude qu'elles rentreraient dans son crâne,
les bonnes manières.
Une seule fois Jérôme avait tenté un
subterfuge avec moi, et ce fut l'unique. Je découvris la tâche,
certainement du jus de framboise, sur le canapé en velours beige du
salon. Ils furent appelés tous deux à se dénoncer. Jérôme
prétendit qu'il était responsable, ils savaient tous deux que je ne
le battais pas. Il mentais, je le voyais dans ses yeux, dans son
manque d'assurance à avouer la faute.
Etait ce pour trouver un moyen de
protéger son frère et remonter dans son estime, ou bien Lucien
l'avait il menacé, j'allais vite le savoir.
J'annonçais à Jérôme la fessée, à
la ceinture, sur ses fesses nues. Il n'en revenait pas, je sentais
son hésitation à me dire la vérité, ses yeux suppliaient « c'est
pas moi ». Ca me faisait mal au cœur d'avoir à lui donner une
correction, mais je n'avais pas le choix, il s'était joué de moi,
et les conséquences devaient être suffisamment sévères pour lui
ôter ces idées de la tête.
La tête basse il m'apporta la
ceinture, pensait il encore que la correction serait fictive.
Elle ne le fut pas, je m'assis sur le
canapé, jupe relevée, plaçant Jérôme à cheval sur ma cuisse,
son torse sur le coté gauche, plaqué, retenu d'une main, dans
l'autre main, la ceinture pliée en deux s'abattait à rythme
régulier sur ses fesses nues.
La vérité sortit aussitôt de sa
bouche, c'était Lucien qui l'avait forcé. Je lui expliquais qu'il
serait comme même puni, parce qu'il m'avait menti, et qu'il m'avait
fait très mal, je ne m'attendais pas à ça de lui, et je ne voulais
plus jamais que ça recommence.
Il avait honte, il s'excusait, et
c'était sincère.
La punition fut suffisamment sévère
pour qu'il s'en souvienne bien, mais suffisamment indulgente pour
éviter sa haine, pour qu'à la fin il accepte sans peine mes tendres
consolations.
Voilà, c'était fini, je pris Jérôme
contre moi et il enroula ses bras autour de ma taille pleurant la
tête contre mon ventre.
Il promis de plus me mentir, plus
jamais, je savais aussi qu'il l'avais bien senti passer, et qu'il ne
voulais plus la revoir la ceinture.
C'est à Lucien que j'ordonnais de la
remettre en place, lui ne comprenais pas comment son frère pouvais
venir pleurer contre moi alors que je venais de lui coller une
rouste. Encore une fois je vis la haine dans le regard de Lucien.
Demain on parlerais de son influence
sur son frère, lui dis je.
J'emmenais Jérôme dans ma chambre,
allongé sur mon lit, je lui passais de la pommade. Il dormirait avec
moi ce soir, ça faisait partie des consolations. Il s'allongea sur
moi, ses jambes autour de ma cuisse et s'y frotta jusqu'à trouver
l'apaisement.
Depuis, venir dormir dans mon lit était
devenu pour lui une friandise occasionnelle, par laquelle je le
récompensais pour notre bonne entente, et spécialement quand il
trouvait le courage de dénoncer des méfaits notables de son frère
qui pouvaient m'échapper. C'était pour le protéger d'une
éventuelle colère de Lucien qui venait de se faire corriger, pour
le soustraire de la mauvaise humeur de son frère, que,
particulièrement dans ces cas , j'invitais Jérôme à dormir dans
ma chambre.
Christine, tout comme moi, voyait qu'on
ne pouvait se passer d'une sérieuse remise en place dans l'attitude
de Lucien.
La séance était prévue pour le
lendemain, un samedi après midi, après la sortie de l'école.
L'intéressé Lucien fut convié à
recevoir des explications au salon, nous l'attendions tous de pieds
ferme. Assise les jambe croisées dans le fauteuil, j'attendais,
curieuse, la prestation de Christine.
Près de moi Jérôme attendais lui
aussi, les fesses sur la moquette, adossé au fauteuil.
Remontée, les nerfs tendus, Christine
explosa comme le tonnerre qui gronde.
Quand Lucien essaya d'en placer une, il
se pris une gifle, il n'avait certainement jamais vu sa mère dans
cet état.
Dans toute l'éloquence d'une
engueulade supposée lui faire remonter ses sucs gastriques, Lucien
se faisait traité d'ingrat et était sommé de respecter mon
autorité à la lettre.
Christine lui annonça qu'il recevrait
la ceinture, et s'empressa de la chercher. Je vis que Lucien ne fut
pas spécialement affecté par la sentence.
Christine revint avec une ceinture en
imitation cuir, noir, large. Il était vrai qu'elle faisait peur,
mais c'était bien son unique avantage, elle ne m'était pas
inconnue, je l'avais remarqué dans la garde robe de ma tante. Pour
moi elle ne présentait pas d'autre intérêt que décoratif. Trop
légère pour un usage punitif.
Je comprenais mieux maintenant pourquoi
la ceinture de maman ne suggérait à Lucien aucune vertu dissuasive.
J'intervins dans la décision de ma
tante :
« Pas avec cette ceinture
Christine. Jérôme, apporte nous la bonne. »
« Non ! » Lucien entra
dans une série de protestations, il voulu s'enfuir, mais sa mère
l'agrippa par le col.
« Dépêche toi Jérôme, apporte
moi cette ceinture ! » Cria Christine en retenant Lucien
qui se débattait. Je lui vin en aide scellant mes mains autour des
poignets de Lucien.
En écartant ses bras, je tirais Lucien
vers moi dans une position basse pour venir coincer sa tête entre
mes genoux. Tirant sur ses bras je fis glisses sa tête entre mes
cuisses jusqu'à ce que sa nuque vienne se coller à mon pubis.
Je remarquai que cette position, non
seulement interdisait à Lucien de soustraire son cul, mais aussi
éviterait à Christine d'être attendrie par le visage suppliant de
son fils.
La ceinture arriva, je conseillais à
Christine de l'enrouler autour de la main et de prendre une bonne
distance pour officier.
Ca pleurait, ça hurlait sous ma jupe,
je sentais des dégoulinures visqueuses sur mes cuisses.
Christine appliquait frénétiquement
les volées sur le postérieur cambré de l'ingrat.
J'étais toute excitée, je maintenais
Lucien par les aisselles, j'avais changé ma prise, non seulement
pour plus de fermeté mais aussi pour affirmer d'avantage la pression
entre sa nuque et mon pubis.
Les suffocations que je ressentais
entre mes cuisses ne laissaient à Lucien aucune place pour des
protestations.
Les fesses de Lucien étaient zébrées
en rouge sur toute leur surface, je stoppais Christine, ivre dans son
élan de bien faire, elle ne mesurait certainement pas la force de
ses impacts, et bien heureusement ma jupe lui cachait les symptômes
dans leur ensemble.
Quand je relâchais Lucien, il tomba à
terre et se recroquevilla dans les râles, Christine compris qu'elle
avait largement dépassé son dû, mais n'en afficha que
satisfaction.
Loin des yeux, et loin du cœur.
Les jours consécutifs, Lucien mimait
la démarche des canards, Jérôme nous rapporta que son frère ne
mettait pas de culotte, certainement l'élastique ou autre contrainte
le forçait à cette commodité.
Ce détail ne manqua pas de s'ajouter à
ma satisfaction.
Avant de partir, Christine mis en garde
Lucien. Si elle entendait ne serait ce qu'une seule plainte de ma
part à son égard, elle n'hésiterait pas à lui en coller une
semblable, voir pire.
1 commentaire:
La ceinture le jour ou j ai oublié de te de ranger ma chambre ma mère je vais en courses en rentrant je passe l inspection un quart d'heure plus tard j entends la porte d entrée s ouvrir sut elle a fait vite je suis descendu à pas feutrés j ai attrapé le martlnet suis remonté ni vue ni connu je l ai caché ma mère entra dans la chambre elle me dit quelle bazare je te l avais promise tu vas l avoir elle me decullota et me mi sûr ses genoux d une main ferme elle me fessa longtemps puis me dit je reviens de retour elle me dit où il est je sais pas ce n ait pas grave je reviens coups doubles je jubilais erreur ma mère revint avec une ceinture me tennant fermement a plas ventre sur le lit il leva l instrument et m assénas une véritable raclée je ne l avait jamais vu dans une tel colères je vais chez le boucher en rentrant j espère que le martlnet volant sera de sinon gare a tes fesses me montrant la ceinture je remis le martlnet a sa place en rentrant ma mère remonta me decullota et me tennant par le bras m admlnlstra une correction au martlnet le soir elle l histoire de la journée tu as pris laquelle mai non on mange je te ferai voir après dîner ensuite monte dans la chambre et a poil m accompagnant il allas dans sa chambre en revenant cherie tu vient mon père me prit par les épaules me plaquas a plas ventre sur le lit dit a maman essaie cette ceinture elle commença à me fesser a toute volé une fois fini j avais les fesses cramoisie avec plusieurs traces violettes cette ceinture fesait deux fois plus mal je n'ai plus caché le martlnet néanmoins suivant la taille de la bêtise j avais droit a la ceinture a plus
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