La
porte se referma, Derrière on entendait encore la voix menaçante du
père de Renée.
«Vas
me chercher la discipline!» Gronda ma mère.
«Tu
penses que je ne savais pas ce qui se passe ici!» Cria t elle.
Elle
me révéla sa source.
Madame
Kerva l'avait appelé pour lui dire que ça ne tournait pas rond avec
moi, que tous les soirs il y avait la musique, et cette fille qui
venait me voir.
«Tu
crois qu'elle a pas vu comment tu t'habilles quand tu sors!» Elle
m'avait épié, elle m'avait à l'oeil la vieille marâtre, elle
surveillait tout de sa fenêtre.
«Tu
vas voir ton pissoir!» ma mère ponctua par un coup de martinet
rapide sur mon pubis. Je le couvrais de mes mains.
«Tu
vas la retenir ta tenue! Je vais t'apprendre à faire ta dame!»
A
cause de moi mes parents ont du écourter leurs vacances, ma mère me
dit qu'elle allait changer de régime avec moi, «ça va marcher à
la baguette maintenant».
Elle
me tendit le martinet en me demandant de le poser sur mon bureau dans
ma chambre, il attendrait là son usage ultérieur après que j'eusse
fini de déballer les valises et de ranger les affaires à leurs
places respectives.
J'exécutais
sans savoir ce qui m'attendait, ma mère ne disait rien, elle me
laissait ranger et mettre de l'ordre dans ma tenue, à l'origine
érotique, que je ressentais maintenant de plus en plus comme
humiliante, surtout quand je passais près de mon père. A chaque
fois que je passais devant eux, c'était les mêmes regards
accusateurs qui se posaient sur moi, qui sous entendaient qu'on
devait me reprendre.
«Je
vais t'apprendre à faire ta dame.» C'était le refrain de ma mère
lors de mes passages devant elle.
Faire
ma dame, c'est ainsi qu'elle qualifiait mon comportement honteux.
J'avais
le diable dans la peau, c'était le mal qui m'avait tenté et j'y
avais pris plaisir. Elle promis de me le faire sortir mon diable,
j'allais plus faire ma dame ici, c'était clair, j'allais voir un
peu.
J'avais
l'estomac serré, les jambes molles et je me raidissais à chaque
remarque qui tombait.
Je
savais vraiment pas ce qui allait m'arriver, ma peur m'amenait à un
état second, mes pensées étaient paralysées et je marchais sur
des braises.
Face à
tous les «tu vas voir» qui m'étaient destinés, je pris mon
courage à deux mains pour plaider quelques mots afin de me faire
pardonner, juste un peu.
A
peine j'avais ouvert la bouche que la réponse fut:
«Tu
la fermes!»
A la
maison, le pardon était une liqueur rare, il n'y avais pas de
seconde chance, et rien de meilleur qu'une explication avec la
discipline pour me rentrer dans le crâne qu'il ne faut plus que je
recommence.
La
méthode était simple, plus ma mère allait ma faire hurler de
douleur et mieux j'allais comprendre ce qu'on me reprochait, ou du
moins en retenir la conséquence.
Quand
je l'entendais me dire sur un ton sec « il va falloir qu'on
discute, Cécile », j'étais prise d 'effroi, je me
demandais qu'est ce que j'avais encore fais ou pas fais. J'arrivais
devant elle avec mon allure repentante prête à écouter avec
humilité une accusation dont souvent j'ignorais le sujet. Je me
doutais uniquement que j'avais fait une faute, ou une de trop.
Quand
ma mère était excédée par le stress du travail j'en devenais vite
fautive, une fainéante, une négligente, qui bâcle ou qui oubli ses
devoirs, à qui on doit une fois de plus rappeler le sens des
responsabilités.
Quand
elle était de ces humeurs, je sentais en elle bouillir l'envie de me
punir, de me montrer ce qu'il en coûte de ne pas se soumettre à
l'ordre et au travail.
N'importe
quelle peccadille, des objets pas à leur place, des poussières dans
un coin, ..., était propre à justifier un manque de discipline.
J'avais
eu droit à tout, un collant filé et c'était le stress, qu'est ce
qu'elle allait dire ma mère, est ce qu'elle serait d'humeur à
laisser passer, est ce que j'allais me faire engueuler, ou est ce que
c'était la goutte qui allais faire déborder le vase.
Je
connaissais bien la chanson dans ce genre de situations, après
l'appel au salon, suivait ce genre de question, « c'est quoi
ça, Cécile ? », en pointant du regard vers mes jambes.
J'avais
intérêt à me taire et acquiescer docilement quand on me traitait
de malpropre. Je me foutais de la gueule du monde, je négligeais ma
tenue, je jetais l'argent par les fenêtres, je n'avais pas de
respect pour ce qu'on me donne.
Une
fois de plus je m'écrasais en admettant que c'était de ma faute.
« Dépêches
toi Cécile, j'attends », la requête était claire, j'allais
chercher mon fouet au pas de course, la suite tout aussi connue,
enlever ma robe et sauter d'une jambe sur l'autre pendant que ma mère
me les lacérait à tour de bras.
Elle
me remontait par les cheveux si je m'étais recroquevillée, je
finissais battue à terre.
C'était
ça qu'elle appelait marcher à la baguette, quand pendant plusieurs
jours, voir une semaine elle m'imposait un régime de terreur, comme
elle le disait, pour me remettre sur les rails. Ca pouvait arriver
plusieurs fois dans l'année, je n'ai pas tenue les comptes, en tout
cas je ne me souvient pas d'une année qui en fut exempte.
Là je
craignais que la promesse de ma mère s'applique à une période
indéterminée.
Bien
sure j'avais peur, et j'aurais tout fais pour ne pas me faire punir,
malheureusement maintenant, je ne pouvais que regretter mes actes, je
venais tout juste de prouver qu'on ne pouvait pas me laisser un
instant libre.
J'avais
si honte qu'on m'ait surprise dans mon intimité, j'avais conscience
d'avoir fait une faute impardonnable, j'avais pas le droit de me
révolter.
Je
pensais sincèrement que me faire punir serait juste, me laverait de
mon acte honteux, et libérerait ma conscience.
Mais à
la fin du supplice, j'espérais qu'il y aurais un pardon, qu'on ne me
le rappellerais plus toute ma vie, comme toutes les fautes que je
charriais depuis ma naissance. Ma mère me définissait par tout ce
que j'avais fais de mal, c'était ce de quoi j'étais capable (et que
je n'aurais jamais du faire), et qui égouttait comme de l'huile dans
les flammes de ses colères.
Elle
venait de me coller un nouveau terme à mon identité, désormais
j'étais une traînée. Sans espoir d'en sortir, juste contrainte à
accepter la considération qu'on lui réserve.
Avec
le temps, je me rendais compte que je n'expiais pas mes fautes en me
faisant punir, je les accumulais, la sévérité grandissante de ma
mère me faisait juste reconnaître le poids grandissant de ma charge
et la rétribution qu'elle méritait.
Oh si
seulement j'avais peu revenir en arrière, j'aurais jamais fais tout
ça, j'aurais été sage, je m'imaginais une deuxième vie exempte
d'erreurs.
Je
rêvais d'être une belle fille, mince, comme les autres, pas cette
grosse, ce tas de chair détestable, juste bon à meurtrir, que l'on
cachait dans des sacs immondes que mes parent appelaient des
vêtements.
Je
n'étais pas sa fille, j'étais la grosse pour mon père, celle qui
cirait ses pompes et qui repassait son linge, celle pour qui il
n'avait qu'une seule envie, faire rôtir la couenne avec sa sangle.
C'était
de ma faute, j'avais tout raté dans ma vie, la seule reconnaissance
à laquelle je pouvais encore m'attendre, c'est qu'aujourd'hui on ne
me batte pas.
Ma
mère avait bien réfléchit, l'école ce serait bientôt fini pour
moi, j'avais assez redoublé comme ça, « ça suffit ».
J'allais voir ce que c'est que de faire ma dame, j'irais bosser, ma
tante me placerait à des ménages dès cet été.
Je
pouvais oublier les vacances, il n'y aurait plus de sorties, à la
moindre connerie on allais me reprendre, j'aurais ni l'envie ni le
temps de poser mon cul sur une chaise, c'était dit.
Après
les remontrances, ma mère me pinça l'oreille et me tendit sur la
pointe des pieds en me traînant vers ma chambre. Durant la
procession je perdis un de ses escarpin. On fit demi tour pour que je
le rechausse, visiblement ma mère tenait absolument que je garde
dans son intégralité la tenue provocatrice que j'avais initialement
destiné aux plaisirs.
Elle
voulait associer à mon érotisme le goût du pêché et de la
rétribution qu'il mérite.
Elle
me fit allonger sur le dos, sur mon lit et cella mes poignets aux
barreaux de mon lit blanc en métal.
De
même elle cella écartées mes chevilles au même panneau, je me
laissais faire ne sachant pas où elle voulait en venir.
Je me
retrouvais dans une position des plus embarrassante, je réalisais
peu à peu que j'avais mes lèvres présentées au bon vouloir du
fouet.
Impuissante
je commençais à gigoter pour changer de position, je forçais sur
mes liens sans résultats.
J'avais
maintenant pris pleinement conscience à quel supplice j'étais
exposée et à l'impossibilité de m'en soustraire.
J'explosais
en protestant, «non maman, pas ça, pas ça!», je criais pour
qu'elle me relâche, j'en pleurais comme si on me battait déjà.
Ma
mère éteint la lumière dans ma chambre et sortit m'assurant
qu'elle allais revenir, et sur un ton neutre et froid ajouta:
«Et
tu te calmes, sinon je vais aller chercher le câble.»
Je mis
en sourdine mes hurlements, je bouillais à l'intérieur.
Je
sais pas combien de temps elle m'avait laissé dans le noir à
attendre.
Dès
que j'entendais ses talons claquer sur le parquet, je frissonnais,
maintenant ils se rapprochaient de ma chambre et elle tournait la
poignée.
La
lumière s'alluma, j'étais tendue comme la membrane du tambour qu'on
allait battre.
«Maintenant
tu vas t'en prendre» avait elle dit en me présentant le martinet
qu'elle venait d'empoigner.
Elle
fit claquer un premier coup sans mesurer sa force, j'avalais ma
douleur en aspirant de l'air et retenant mon souffle. Après cette
rétention, j'expirais par un râle continu, je continuais à
suffoquer en chialant. Le visage tendu, la bouche ouverte, mes yeux
écarquillés vers ma mère, c'était à la fois une accusation, une
supplication, et la peur qui guettait un claquement prochain.
Ma
mère me regardait satisfaite, avec un de ses air qui me disait que
je l'avais pas volé celui la.
«Alors,
tu fais toujours ta dame maintenant !» Elle termina sa phrase
par un autre claquement tout aussi fort, et ça n'allait pas
décroître. Elle prenait son temps pour bien me faire savourer
chaque coup, et me ronger les nerfs dans l'attente de la prochaine
morsure.
Après
chaque tirade, j'étais en panique, ses brandissements éloquents me
faisaient sursauter, elle attendait que je baisse ma garde pour m'en
coller un.
Je me
tordais dans tous les sens en hurlant, les larmes coulaient à flot,
quand ma respiration arythmique reprenait une régularité, je
prononçais quelques mots entrecoupés de pleurs pour ma défense:
« Ca
fait trop mal », « je peu pas », « non »,
…
Il eu
suffit d'une fois pour que je comprenne que je n'avais pas la parole
ici.
« Tu
la fermes, oui ?! »
Les
jours qui suivirent mon exécution, je me retenais autant que
possible d'aller aux toilettes, mes urines brûlaient mes lèvres
enflées.
2 commentaires:
Je m'en branle formidablement
Pour la première fois depuis le début de l année ma mère m'a dit il y a ta voisine qui vient a la maison elle arriva et on allas jouer dans la chambre elle me dit on joue au docteur tu est le patient joignant le geste à la parole elle me deshabilla nu pour m ausculter jouent avec mon zizi ma mère se dit trop calme montant sans bruit a la chambre ouvrant la porte elle fut stupéfaite par le spectacle elle nous dit ne bouger pas je reviens un quart d'heure plus tard elle entra avec la voisine il faut dire que cetai la deuxième fois que l'on était prit en flagrant délit a poil tous les deux moi c était fait munis chaqu une d un martlnet au lanières de soixante cm elle commencaire a nous fouetter méthodiquement sur tous le corp fesant attention de ne pas frappé la tête a chaque coups je me tournais cela lui permettait de flageller une autre partie du corps elle on stoppée la raclée allon boire un café on reviens avec ma copine ont a regardé dans la glace on avait des strie bien marquer sur tous le corp revenu elle intimat présenter vos fesses reprennent le martlnet elle se sont mi à nous administré une bonne fesser bien appuyer pendant dix minutes habillé vous on vous attend chez la merciere et je vous le dis je l ai prévenu arrivé devant sa boutique la merciere nous fit entrer ferma la porte nous prit par l oreille direction le bureau a poil je suis pressé sortant le gros martlnet douze lanières soixante dix cm elle entreprit une flageller magistrales a signaler elle était très habille ont en a pris de partout puis elle me coucha sur sont bureau puis se saisies du claquoir et commença à me fesser avec une belle énergie ceci pendant un bon quart d'heure ensuite ce fût le tour de la copine a fit elle juste l heure de l ouverture habillé vous vite sinon dehors tous nu arrivé à la maison nos mère de concert a poil une fois nu tourner elle est vraiment gentille la merciere ma mère me dit ecarte tes fesses je me penchait pour faire voir mon anus elle émit une remarque en prenant le claquoir pas très rouge la me boqua avec sont bras elle m admlnlstra une bonne fesser dans la raie des fesses après ce jour terminé de jouer au docteur a plus
Enregistrer un commentaire