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lundi 24 octobre 2011

9_Pas Juste

 
 


Au retour à la maison je baignais dans l'extase des souvenirs de Renée, je venais de partager sa douleur et ses craintes, on venais de la mater devant moi et je m'en voulais d'en jouir.
Je la sentais d'avantage vivre en moi, je comprenais mieux sa colère d'être humiliée, sa peur de la réprimande, la fameuse chaise dont elle m'avais déjà parlé, « il m'a fait mettre dos nu sur la chaise le salaud », elle le haïssait. Moi il me dégoûtait tout autant le monstre, et pourtant ça ne m'avait pas empêcher de jouir d'entendre mon amie hurler sous les coups, de la voir rendue docile sous la menace.
Je la trouvais d'autant plus belle abdiquante, apeurée, tremblante, je me voyais en elle dans cet état, c'était ma sœur, mon amante secrète.
A l'école j'épiais les moindres gestes qui traduisaient sa condition, quand elle s'asseyait sur un banc dans la cour, droite en faisant bien attention de ne pas s'adosser, quand elle fuyait les regards et se mettait dans un coin, là je venais la consoler nourrissant ma jouissance de sa peine.
Jusqu'à présent je me demande si je suis née folle où si on m'a rendue comme ça, souvent ça a été un tourment de savoir si je devais me laisser aller à cette jouissance, mais je n'ai jamais peu y résister, c'est plus fort que moi, alors je l'assume.
Renée me déballais tout maintenant, elle n'avait plus de honte, j'entendais sa colère, elle allait le tuer, il fallait qu'elle se casse, …
Toutes les deux on attendais notre droit pour partir, et quand on pensait aux années qui nous restent, on avait la rage.
Moi aussi je lui déballais mon sac, d'abord parce que j'avais quelqu'un à qui en parler, et surtout parce que je voulais qu'elle m'aime pour ce qu'on me faisait subir.
Je savais que je n'étais pas une belle, mon père me le répétait constamment, « affreuse », mais au moins quand je me confiais elle avait une raison de me prendre dans ses bras, je pouvais pleurer sur son épaule.
« Tu te l'ai bien prise celle là, ça va te rendre bonne pour un bon bout de temps j'espère », c'est ce pouvais dire ma mère après m'avoir rossé. Pour moi c'était une consolation de plus, d'avoir été rendue plus désirable par la correction, et les câlins de Renée en étaient la preuve.
Les conversations avec Renée faisaient naître en moi un sentiment d'injustice et une envie de révolte, ma mère tournais chaque situations pour que je me reconnaisse fautive, elle avait des argumentations imparables et mes hésitantes objections finissaient par donner raison à renforcer la correction. « C'est l'âge bête » disait ma mère, « il faut sévit ».
Tout mon raisonnement s'effondrait, je devenais de moins en moins sensible aux au idée de rebelles de Renée, je ne me laissais plus monter contre ma mère comme les premières fois. Elle sentais mon enthousiasme décroître quand je lui répondais rien que pour la soutenir, sans m'impliquer pour moi. Je fini par lui dire que ça va changer quand on partira. Elle ne m'en voulais pas d'être lâche, de me donner raison à ma condition.
Au contraire sa compassion en fut encore plus grande et donna d'avantage de fondements à ma résiliation.
C'était clair que je ne voulais plus passer devant ma mère pour une idiote qui fini par comprendre qu'elle mérite encore plus le fouet.

La dernière fois que j'ai du prononcer « c'est pas juste » à ma mère ce devait être chez Marraine.
C'était une soirée d'hiver, avec cette nuit qui tombe assez top, dans le confort d'un foyer bien chaud.
Nous étions ma cousine, mon cousin et moi, dans la chambre des enfants. On venait de dîner. Les parents, Marraine, son mari et ma mère discutaient au salon.
Mon cousin Michèle venait tout juste d'apprendre à confectionner des bombes à eau en papier. Sa sœur Corine était ravie de l'invention, c'était la fête, la fenêtre grande ouverte, elle bombardait de cocottes en papier que remplissait Michèle à la bouteille.
Moi je n'osais prendre part mais j'observais avec un grand enthousiasme le carnage.
La porte de la chambre fut ouverte brusquement, fou furieux mon oncle rentra dans la pièce surprenant Corine à la fenêtre la cocotte à la main.
Un voisin était venu se plaindre qu'on lui avait salopé sa voiture.
Ma cousine fut traînée par l'oreille au salon. Là c'était l'engueulade et les gifles.
Avec Michèle on resta pétrifiés dans la chambre, jusqu'à ce qu'on nous appelle.
Mon oncle remontait avec Corine, le visage pourpre et en pleurs, elle venait de faire le ménage dans la rue.
« Tu vas voir ce que tu va prendre » lui annonça son père. Aussitôt Corine dénonça son frère comme l'instigateur du festin.
Ma mère aussi apporta son dut :
« tu enlèves ta jupe Cécile, tu va recevoir comme les autres ».
« C'est pas juste Maman, j'ai rien fais ».
« Qui est ce que j'ai entendue rire derrière la porte ?! Tu n'as rien dit, tu es complice ! »
voilà où s'arrêta ma justice.
Sur ces mots ma mère leva la main pour me coller une gifle, par réaction je couvrais mon visage.
« Les main derrière le dos Cécile ! » cria t elle.
Le visage tendu je recevais deux claques.
« Ca t'apprendra à faire ta fière ! Insolente !».
Elle posa sur moi son regard terrible, je pris de suite mon attitude résignée.
« Enlève ton pantalon ! » cria mon oncle à Michèle.
Le visage rouge de honte mon cousin fit glisser le jean le long de ses jambes, révélant que, comme nous les filles, lui aussi portait un collant. A ce moment, un instant exquis flotta dans mon esprit, je jouissais de le voir contraint à ce supplice qui attendait certains garçons en hivers. J'en ai vu et entendu plus d'une histoire à ce propos et ça m'avait toujours excité d'en voir dans cette condition.
Le sien était en coton bleu marine, celui de sa sœur en coton blanc, le miens caramel, en laine acrylique, repiqué sur les genoux et à divers autres endroits. Il avait été bien porté et plissait par endroits.
On assorti nos couleurs allongés sur le lit nuptial du couple, qui par nécessités devenait l'autel des punitions après que mon oncle eu placé le traversin en son centre pour remonter nos derrière face aux morsures de la laisse. Corine devait se maudire d'avoir suggéré cet instrument.
Mon oncle avait refermé la porte laissant les dames déguster tranquillement le thé, alors qu'il faisait claquer la laisse sur un bon rythme, il y avait trois culs à corriger et les jambes lorsqu'elles ne tenaient plus en place et que les mollets se mettaient à gigoter.
Les cris avaient et les grognements avaient commencé dès les premiers claquements. Sur deux coups consécutifs on ne tenait plus en place et on s'en recevait d'avantage sur les jambes, jusqu'à ce qu'elle reste allongées. Mon Oncle frappait selon son bon vouloir qui se porta d'avantage sur sa fille. Quand ça tombait sur elle, il la faisait hurler en lui en collant trois ou quatre d'affilé. Ma tête tournée vers elle je la voyais les yeux écarquillés mordre la couverture, crispée et tremblante.
Moi j'en recevais au passage, deux tout au plus, mais je n'avais pas manqué à faire entendre ma voix.
Si le voisin entendait, il devais bien se satisfaire du concert qu'on lui offrait.
Après les coups de laisse, l'humiliation continua au salon où l'on nous fit rentrer les têtes baissées et pleurantes, je me ressaisis assez vite, Michèle se calmait peu à peu alors que sa sœur pleurait encore le martyre.
On nous demanda si on avait bien compris, que les conneries c'était fini. On nous demanda des excuses, tour à tour on se prononçait, Michèle commença en premier. Indistinctement, balbutiant des bout de phrase Corine fit comprendre sa résiliation.
Avant que je n'eus ouvert la bouche ma mère intervint :
« Dis moi Cécile, je t'ai pas beaucoup entendue pleurer, montre moi tes fesses que je vois ».
Je restais figée sans un mot.
« Tu te tournes, et tu me montre ça, et vite ! ». J'exécutais sur le champs.
« Corine ! » cria Marraine, sans préciser. Ma cousine suivit mon exemple sans se faire attendre.
« Michèle » prononça mon oncle.
Les culottes baissées on présentait nos derrières à l'assemblée.
« On va te réajuster ça à la maison Cécile, tu le sais » déclama ma mère.
Je fondait en pleur sur cette sentence.
Marraine pris ma défense :
« Ah, tu devrais pas, elle a bien reçu comme même »
Imparablement ma mère ne manqua pas de faire preuve de son sadisme sarcastique :
« Elle voulais que ce soit juste, eh bien je vais lui montrer. Elle va danser cul nu devant la porte ».
J'en pleurais de plus belle.
Je rentrait pleurante traînant mes jambes en coton alors que ma mère forçait le pas en sollicitant que je m'active. A la moindre hésitation c'était les claques. La procession s'envenimait par des reproches, des menaces, des gifles, elle me mettait en condition pour me faire savoir que c'était une sévère qui m'attendait.



8 commentaires:

Anonyme a dit…

j espere que votre mere a été juste en rentrant a la maison

Anonyme a dit…

Toujors pas la suite de se qu'il c'est passé à la maison.

recit a dit…

oui maman a été juste en rentant à la maison, en me surprenant...
je l'ai bien mérité cette fessée cul nu, devant l'amie de ma mère, elle tapait fort afin plus pour se défouler, m'humilier cependant j'ai grandement apprécier d'avoir ce que je méritais depuis longtemps

Anonyme a dit…

elle vous a surpris comment votre maman?????

Cécile a dit…

Bonjour Anonyme, je pense que vous avez assez de jugeote pour savoir ce qui a peu m'arriver en rentrant.

Anonyme a dit…

tu vas recevoir cecile une severe fessée je ne suis pas pour foueter une jeune fille avec une ceinture un cable electrique trop dangereux mais une bone fessée a la main si j etais ta mere je massirais sur ton dos je te fesserais les fesses ala main sur ton lit est une bone seance de martinet tu aurait les fesses bien strié j ai recu des fessées par ma mere jeune garcon sur mes fesses je n ai jamais eté blesser par le martinet c est un chatiment ideale pour ce faire obeir des enfants mais ta mamam ne doispas etre brutale avc toi les fessées c est exceptionel

Anonyme a dit…

quand a la fessée des jeunes garcons fait les obeire avec le martinet sur les cuisses n esst pas peur de les deculotter avec un martinet sur les fesses apart les marques du martinet ce n est pas dangereux mais qand il on recu leurs fessée pardonne leur et soit maternelle avec eux ce n est pas ce que ta mere a fait toi noublie pas de les metres au piquet si les deux garcons sont bien obeissant recompense les

Yves a dit…

Depuis quelques semaines deux je me tenait à sage tous a coup ma mère me dit la boulangère veut te voir j y allais la fleur au fusil arrivé à la boulangerie la dame menmena dans sa chambre la mon copain était au piquet les fesses rougis par une bonne fesser la boulangère me demanda vous étiez ensemble hier oui à ce moment là elle me plaquas sur sont lit me decullota et se mi à me fesser avec une belle énergie puis elle prit le martlnet et m'a donné une flageller magistrales je me suis souvenu pourquoi nous nous étions amuser a sonné a toute les maison au retour de l'école en rentrant a la maison maman me dit cela fait du bien dans ta chambre elle monttas une heure plus tard déshabille toi une fois cul nue elle sorti le claquoir de son dos attrapent par le bras elle se mi à me fesser pendant cinq minutes puis il me dit habille toi et vas voir la merciere les fesses rougis je m executait la merciere me reçu avec un petit sourire direction le bureau tu vas voir un vrai martlnet horreur l engin avait douze lanières de soixante cm et sept mm un manche de quinze cm sans me demander mon avis elle me decullota et me fessa durement cette fois là les trace son resté visible une semaine le soir mon père admira le travail et dit c est bîen je n ais plus sonné au porte a plus